Krar
Écrit par Raharimanana/Tao Ravao/Pierrot Men
Musique : Tao Ravao
Mise-en-scène : Raharimanana
Photographies : Pierrot Men
Vidéo : Yann Marquis
Lumières : Viviane Vermignon/Fabrice
Son : Thierry Bedard/Yann Marquis
Conseil artistique : Thierry Bedard
Distribution :
Voix et interprétation : Raharimanana
Musique : Tao Ravao
Productions : Cie SoaZara, co-production Théâtre Les bambous, scène conventionnée/St Benoît, La Réunion, Athenor, scène nomade/ Saint-Nazaire, Notoire de l’étranger(s)/Paris, Institut français.
Soutiens : Festival des Francophonies en Limousin, Le Tarmac/Paris, Festival Musiques Métisses/Angoulême, Réseau Afrique 37, Touraine-Madagascar, Institut français d’Antananarivo, Institut français et ville de Nantes, Labo Men/Fianarantsoa, EKB/Saint-Benoit, Médiathèque/Le Tampon, Laterit productions, Zerane confluence artistique/Paris. Cie Miangaly/Antananarivo.
Rano, rano, travail d’écriture de longue haleine de trois grands artistes malgaches, Raharimanana (écrivain), Tao Ravao (musicien), et Pierrot Men (photographe), est l’aboutissement d’un engagement sur la mémoire. Mémoire à écrire, redire et récolter avant que les derniers témoins de l’insurrection de 1947 contre la colonisation française ne disparaissent, mémoire à transmettre ensuite pour une réflexion posée et sans concession sur une histoire que se partagent la France et Madagascar.
Cette forme, qui allie les mots d’un auteur avec les paroles des témoins de l’insurrection, réunit trois artistes connus pour la profondeur de leurs travaux : Raharimanana, Tao Ravao et Pierrot Men, trois artistes incontournables à Madagascar quand il s’agit de littérature, de musique et de photographie.
Raharimanana écoute, écrit et redit les paroles, dans un va-et-vient permanent entre l’écrit et l’oralité. Tao Ravao écoute, rejoue et réinvente les airs musicaux qui ont porté les paroles. Pierrot Men écoute, observe et photographie les visages qui ont tant vécu, capte ce que les yeux ne peuvent pas voir.
Présentation vidéo :
Durée du spectacle : 1h10
Lire l’entretien de Tao Ravao avec Nassuf DJAILANI de la revue Project-Îles :
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